Le Hibou

Le Hibou © Alessia Contu

Une coproduction Zététique Théâtre – Compagnie de la Bête Noire.

La nuit, les hiboux peuplent les rêves d’Agnès. Pour la fillette, leur image se confond avec le souvenir de son père, emprisonné pour inceste. Agnès vit depuis lors seule avec sa mère. Entre amour et culpabilité, rage et tendresse, mère et fille livrent leurs questions, leurs colères et découvrent leurs blessures.

Il est des histoires qui s’achèvent une fois le coupable arrêté. Il en est d’autres qui commencent là où les premières se sont interrompues, comme pour dire : « non, la vie ne reprend pas comme si de rien n’était ».

C’est ainsi que débute le récit du Hibou. Qui interroge ensuite : Comment vit-on au cœur de la faute, qu’on en soit la victime, le témoin ou le bourreau ?

C’est alors que surgit Pako, un jeune homme chargé lui aussi de son lot de questions : Suffit-il de payer sa dette pour parvenir à oublier le mal commis ? Parce qu’il faut l’accepter: la vie est une histoire que l’on ne peut recommencer.

« Il me dit qu’il s’est transformé en oiseau uniquement pour s’échapper discrètement de prison, parce que je lui manque et qu’il veut me voir. Mais il me picore et j’ai mal et je n’ose pas lui dire que j’ai mal parce que j’ai peur qu’il ne vienne plus. »

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