Walangaan

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Walangaan – l’eau qui coule à flot en Wolof – raconte à sa façon le cycle de l’eau.

L’eau qui abreuve, l’eau qui ruisselle sur la peau, l’eau qui éclabousse, l’eau qui nettoie, l’eau qui chante, l’eau qui berce, l’eau qui jaillit. Et l’eau qui, parfois, de plus en plus, vient à manquer.

Une chanteuse et un percussionniste sénégalais remontent le cours de l’eau, dévoilent ses sonorités et jouent avec leurs voix et leur corps, depuis la goutte jusqu’à l’averse, depuis le clapotis jusqu’à la cascade. Petit à petit, au son du handpan, se construit un petit monde enchanté, fait de fontaines, de bassines, de robinets et de verseurs. Un univers lumineux qui reflète la douce sensation des premiers bains et l’intime moment du coucher.

Une parenthèse chantée qui dit aussi la préciosité de cet élément qui se renouvelle depuis la nuit des temps.

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