Pan ! (La compagnie)

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Née en 2005 pour porter sa première création « La sorcière du placard aux balais » à destination de l’enfance et la jeunesse, Pan ! (La Compagnie) s’est petit à petit, au fil des spectacles, des rencontres et des projets, fait une place au sein des compagnies émergentes du théâtre jeune public belge francophone.

Grâce à ses différentes activités de création principalement, mais aussi de médiation et de production, Pan ! (La Compagnie) a trouvé une place équilibrée au sein du secteur culturel de la Fédération Wallonie Bruxelles. Théâtre jeune public bien entendu mais également pour adulte, art de la rue, musique, cinéma et médiation culturelle en milieu scolaire et associatif, autant de lieux d’engagement qui témoignent de l’engagement de Pan ! (La Compagnie) pour l’émulation des arts de la scène.

Pan ! (La Compagnie) est une compagnie vivante et vivace qui, malgré un contexte économique de plus en plus fragile, continue à explorer le territoire toujours plus vaste de la création artistique en restant à l’écoute du monde, en cherchant à le questionner avec sincérité et humour et en osant la nouveauté, au risque même parfois de se tromper.

Après dix ans de route dans un monde chaotique et cependant encore surprenant, Pan ! (La Compagnie)souhaite aujourd’hui tenir, avec toujours plus d’ardeur, son rôle artistique et citoyen en continuant son travail. Le temps passe mais le désir demeure intact : marcher en équilibre précaire sur le fil qui sépare la salle de la scène, témoin privilégié de ce lien incertain et vibrant qui unit les spectateurs en une même vison, certes éphémère, de leur humanité. Animés par des convictions humanistes, presque naïves il est vrai lorsqu’on ne peut qu’assister, impuissants, à la déliquescence de nos sociétés, nous espérons pouvoir continuer à inscrire des visions du monde multiples au patrimoine culturel commun avec nos imperfections, nos fragilités et nos espoirs aussi ténus soient-ils parfois.

Si l’on ne peut guère progresser aujourd’hui dans l’art de se détruire, il y a encore du chemin à faire dans l’art de se comprendre.

Nicolas Bouvier Chronique Japonaise

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